dimanche 13 mars 2016

Féminisme n'est pas un gros mot!



De ces qui naquirent comme hommes, tous ceux qui furent lâches et méchantes furent transformés, en leur seconde naissance, en femmes (Platón, 360 a.c) “ N'est rien”. Il y a neuf suffrages? Mettez dix… “Les lois sont comme les femmes, ils sont pour les violer”. (Castelao Bragaño, 2012 ). Entre les deux phrases il y a 2372 ans et ni un seul pas en avant ce à que rapporte à la vision de la femme dans l'imaginaire social.

Même ainsi, il y a qui affirme que le féminisme est inutile, qu'il est tellement seul un raccourci que quelques femmes traitent de profiter pour accéder aux privilèges qui ont été traditionnellement masculins. Cela a provoqué que se termine associant le mot féministe avec un type d'attitudes violentes, de haine aux hommes (par conséquent les féministes sont potentiellement lesbiennes) et en contre de tous les symboles de la féminité conventionnelle (maquillage, jupes, talons…). Comme disait Beauvoir: “L'homme représente le positif et le neutre, c'est-à-dire, le macho et l'être humain, pendant que la femme est seule le négatif, la femme. Chaque fois que la femme se conduit comme un être humain, se dit que s'identifie avec l'homme. (…). Le grand malentendu sur la personne qui repose ce système d'interprétation est qu'on acceptions que c'est naturel pour l'être humain femme, se transformer en une femme féminine: n'est pas assez être hétérosexuelle, même pas être mère, pour réaliser cette idée”. C'est-à-dire, se comprend que toute femme qui n'accepte pas son rôle de femme, c'est parce qu'elle prétend être un homme. 




Et est que plusieurs fois, le problème est purement conceptuel. Toujours s'est donné à comprendre que le machisme défend la supériorité d'homme (lequel est vrai) et que le féminisme, comme son opposé, défend la supériorité de la femme (lequel est faux).
Est nécessaire aller plus loin. Le fait de défendre la supériorité masculine, constitue une inégalité et c'est pourquoi son opposé, le féminisme cherche instaurer une égalité perdue (ou jamais crée).

Inutile de dire que ce travail d'égalité n'est pas exclusivement féminine. Les hommes doivent être conscients que le féminisme est un problème à eux aussi. De la même manière qu'il n'y a pas qu'être nègre pour savoir que le racisme est mal, ni faut pas être pauvre pour savoir que la pauvreté doit s'éradiquer, ne faut pas être femme pour comprendre que le machisme est une injustice et doit être combattu. Dans un jour comme 8 mars, c'est tristement commun écouter phrases du type: “ Et pour quand le jour d'homme?”. Notamment lucide est la réponse que quelqu'un fait au blog “Yo follé contigo”(Je baisais avec toi) (http://yofollecontigo.tumblr.com/post/140681958893/feliz-d%C3%ADa-del-hombre).

Dans son article, s'inverse le mot femme par homme et signale les principaux problèmes auxquels les femmes font face par le simple fait d'être femmes.

- Vous avez lutté jusqu'à obtenir droits universels que n'avaient pas
contemplé que vous eussiez que voter, recevoir education et decidir sur votre corps (avortement) et sur votre vie (divorce). L'homme bel est qui lutte.

- 11 hommes assessinés pour la violence femenine dans cette année.

-Les hautes charges directives sont formées presque en son integrité par femmes à cause du matriarcat, n'est pas parce que la valeur d'elles soit plus que la vôtre, courage hommes à pour l'égalité.

Cependant, quelques fois sont les propres femmes qui se conduisent de manière machiste.

“La femme qui dit qu'elle n'est pas féministe parce qu'elle n'est pas ni plus ni moins”. Sans vouloir comprendre que le féministe seul cherche l'égalité réel de droits entre les hommes et les femmes. Mais cela n'existe pas. Cette femme est machiste. Elle reproche tous ces maux au reste de femmes. Elle se compare constamment avec d'autres femmes. Elle juge le comportement d'autres femmes en termes de vertu”.

Après tous ces exemples, c'est évident que le chemin que reste pour parcourir est long, comme le trajet déjà parcouru. Mais en cela consiste la lutte, en qu'un jour aux petite-filles de notre petite-filles les paraisse impensable qu'une femme touche moins qu'un homme, qu'un fonctionnaire public fasse apologie de la violation sans qu'il soit immédiatement disgracié, ou que devant d'un cas de violation, la première question que s'écoute soit que vêtement portait la victime.

Un jour, tout cela serait un passé honteux mais, pour cela il faut lutter le présent, sans penser que le féminisme se termina avec le droit de voter ou à aller aux universités.

Pendant qu'une seule femme meure en mains de son couple en cet ou dans n'importe quel pays, pendant qu'une adolescente sorte avec peur de nuit, pendant qu'une de nous soit violacée, frappée, insultée, humiliée, il y aura lutte.

“ Le féminisme est une aventure collective, pour les femmes mais, aussi pour les hommes et pour tous les autres. Une révolution qu'a déjà commencé. Une vision du monde, une option. Ne traite pas d'opposer les petits avantages des femmes aux petits droits masculins des hommes, sinon de dynamiter tout. Et dit cela, bonne chance, femmes et meilleur voyage”.


Féminisme n'est pas un gros mot! Traduction à l'espagnol.



De aquellos que nacieron como hombres, todos los que fueron cobardes y malvados fueron transformados, en su segundo nacimiento, en mujeres (Platón, 360 a.c) “No pasa nada. ¿Hay nueve votos? Poned diez… Las leyes son como las mujeres, están para violarlas”. (Castelao Bragaño, 2012). Entre ambas frases hay 2372 años y ni un solo paso adelante en lo que refiere a la visión de la mujer en el imaginario social.

Aun así hay quien afirma que el feminismo es innecesario, que tan solo es un atajo que algunas mujeres tratan de aprovechar para acceder a los privilegios que han sido tradicionalmente masculinos. Esto ha provocado que se acabe asociando la palabra feminista con un tipo de actitudes violentas, de odio a los hombres (por lo tanto las feministas son potencialmente lesbianas) y en contra de todos los símbolos de la feminidad convencionales (maquillaje, faldas, tacones…). Como decía Beauvoir: “El hombre representa el positivo y el neutro, es decir, el macho y el ser humano, mientras que la mujer es solo el negativo, la hembra. Cada vez que la mujer se conduce como un ser humano, se dice que se identifica con el varón. (…) El gran malentendido sobre el que descansa este sistema de interpretación es que se admite que es natural para el ser humano hembra convertirse en una mujer femenina: no basta con ser heterosexual, ni siquiera ser madre, para realizar esta idea.” Es decir, que se entiende que toda mujer que no acepta dócilmente su rol de mujer, es porque pretende ser un hombre.




Y es que muchas veces el problema es meramente conceptual. Siempre se ha dado a entender que el machismo defiende la superioridad del hombre (lo cual es cierto) y que el feminismo, como su opuesto, defiende la superioridad de la mujer (lo cual es falso). Hay que ir más allá. El hecho de defender la superioridad masculina constituye una desigualdad, y por tanto su contrario, el feminismo, busca instaurar esa igualdad perdida (o jamás creada).

Huelga decir que esta labor de igualdad no es exclusivamente femenina. Los hombres deben ser conscientes de que el feminismo también es problema suyo. De la misma manera que no hay que ser negro para saber que el racismo está mal, ni hace falta ser pobre para saber que la pobreza debe erradicarse, no hace falta ser mujer para entender que el machismo es una injusticia y debe ser combatido. En un día como el 8 de Marzo, es tristemente común escuchar frases del tipo: “¿Y para cuando el día del hombre?”. Especialmente lúcida es la respuesta que se da en el blog “Yo follé contigo” (http://yofollecontigo.tumblr.com/post/140681958893/feliz-d%C3%ADa-del-hombre). 

En su artículo, invierte la palabra mujer por hombre y señala los principales problemas a los que hacen frente las mujeres por el simple hecho de serlo.

- Habéis luchado hasta conseguir derechos universales que no se

había contemplado nunca jamás que tuvierais como votar, recibir educación y decidir sobre vuestro cuerpo (aborto) 
y vuestra vida (divorcio). El hombre bonito es el que lucha.


- 11 hombres asesinados por la violencia feminista en lo que va de año.

- Los altos cargos directivas están formados casi en su integridad por mujeres debido al matriarcado no porque la valía de ellas sea más que la vuestra, ánimo hombres a por la igualdad.

Sin embargo, a veces son las propias mujeres las que se comportan de manera machista.

“La odiadora es una mujer que dice no ser feminista porque ella no es ni más ni menos. Sin querer entender que el feminismo solo busca la igualdad real de derechos entre hombres y mujeres. Que no existe. La odiadora es una mujer que es machista. Que culpa de todos sus males al resto de mujeres. Que se compara de manera constante con otras mujeres. Que juzga el comportamiento de otras mujeres en términos de virtud.”

Después de todos estos ejemplos, es obvio que el camino que queda por recorrer es largo, como largo es el trayecto ya recorrido. Pero en eso consiste la lucha, en que algún día a las nietas de nuestras nietas les parezca impensable que una mujer cobre menos que un hombre, que un funcionario público haga apología de la violación sin que sea inmediatamente destituido, o que ante un caso de violación la primera pregunta que se escuche era que llevaba puesto la víctima. Un día, todo eso será un pasado vergonzoso, pero para ello hay que luchar el presente, sin pensar que el feminismo se acabó con el derecho a votar o a acudir a las universidades. Mientras una sola mujer muera a manos de su pareja en este o en cualquier país, mientras una adolescente salga con miedo de noche, mientras una de nosotras sea violada, golpeada, insultada, humillada, habrá lucha.

«El feminismo es una aventura colectiva, para las mujeres pero también para los hombres y para todos los demás. Una revolución que ya ha comenzado. Una visión del mundo, una opción. No se trata de oponer las pequeñas ventajas de las mujeres a los pequeños derechos masculinos de los hombres, si no de dinamitarlo todo. Y dicho esto, buena suerte, chicas, y mejor viaje.»


dimanche 6 mars 2016

Rayden « La dictature de la langue »

Nous avons sous-titré cette vidéo de Rayden « La dictature de la langue » car elle nous a semblé vraiment intéressante pour notre blog.




Nègre n'est pas un gros mot! Traduction à l'espagnol

“Negro /usa la palabra sin ningún miedo /Negro /negro es el color la actitud de ser/

Negro /una identidad no una cruz es /Negro /visualízalo mírame y di /Negro”

Este es el estribillo de la célebre canción del rapero madrileño Chojin, con un objetivo que desde Les gros mots compartimos: empoderar la utilización de la palabra negro, como una defensa de la identidad y no como un insulto.




Es muy común el uso de eufemismos para evitar la palabra “negro”. ¿Por qué ocurre esto? Es sencillo: porque en el imaginario social se ha acabado ligando la palabra “negro” a la imagen de pateras, a niños africanos desnutridos, a manteros huyendo de policías locales. Parece que esos son los verdaderos negros, los que siempre son extranjeros, los que tienen que luchar para sobrevivir. Los que tienen éxito, los que son actores famosos, o cantantes, o jugadores de fútbol, esos no son negros. Para esos hay que usar otra palabra: morenitos, de color, afroamericanos.

Chojin no es el primer rapero español que utiliza su música para denunciar el racismo contra los negros en un país “progresista” como se supone que es España. 

Frank T en su canción Humor Negro hace una recopilación amarga de todos los populares chistes de negros que tanto se escuchan en España: Dime que en la nieve un negro es un blanco perfecto, que de todos los negros el mejor es el negro muerto, que los negros normalmente no suelen equivocarse: equivocarse es humano y antes hay que humanizarse.

Este tipo de chistes pueden parecer anecdótico, sin embargo el humor es un reflejo convexo del imaginario social. Marca aquello de lo que está permitido reírse, aquello que merece burla.

En los chistes nunca se utilizan eufemismos, se utiliza la palabra cruda, remarcando esa diferencia que convertimos en estigma. Y va más allá de la broma, pensemos en todas las expresiones que llevan la palabra negro en nuestro idioma. Si estás enfadado te pones negro. Si lo tienes difícil lo tienes negro. Si trabajas de forma ilegal cobras en negro. Si tu humor es de mal gusto, retorcido, es humor negro. Si tienes mala suerte tienes la negra. Si alguien te hace el trabajo sucio tienes un negro. Negro nunca tiene una connotación positiva, negro se convierte en un insulto.

También en la publicidad ha sido utilizado el recurso de la confrontación del negro y el blanco, un antes y después en el que el negro siempre es el inamovible antes que debe cambiarse, evitarse, negarse.


Especialmente en anuncios de jabones, como el famoso Fairy, el negro era utilizado como algo que debía lavarse para convertirse en blanco. 





He aquí la asociación: negro-sucio. En marcas francesas como el jabón Dirtoff vemos como un negro se alegra de ver como el jabón le limpia tanto que le aclara la piel volviéndolo blanco. El mismo mecanismo: alégrate, este jabón es tan bueno que convertirá la suciedad en limpieza, lo blanco en negro. 
Y es que, ¿quién no desearía poder ser blanco? ¿No es a eso a lo que debemos aspirar?

Otro referente para la conciencia colectiva que es tocado por el blanco es el cine. Es a la vez modelo y copia de aquello que “debe ser”. En Hollywood lo saben, y era cuestión de tiempo que apareciese una iniciativa como “Oscars so White” reivindicando la falta de oportunidades para los actores y actrices negros en este premio y en la industria del cine en general. Actores de la talla de Will Smith no han acudido a la gala de este año como forma de boicot para visualizar su protesta. Chris Rock reivindicaba desde el propio escenario: "Este año, las cosas van a ser diferentes. En el segmento In Memoriam solo aparecerá gente negra que ha sido tiroteada por policías" o "Queremos oportunidad. Queremos que los actores negros tengan las mismas oportunidades que los blancos".

No ha sido la única campaña de estos meses, en Francia una joven parisina abrió la polémica con el hastag #SiLesNoirsParlaientCommeLesBlancs (si los negros hablasen como los blancos) donde con un toque de humor invierte situaciones cotidianas que incomodan a la comunidad negra francesa.


“ C'est tes vrai cheveux ? Je peux toucher ? Ils sont super lisses, on dirait des poils de chiens » (¿Tu pelo es nautral ? ¿Puedo tocarlo ? Son super lisos, parecen pelo de perro). 

“Ha j'adore l'Europe moi, ma grande mère avait une copine blanche en maternelle tiens!" (Ah, ¡adoro Europa! Mi abuela tenía una compañera blanca en la guardería, sabes.)

La autora está muy satisfecha con toda la repercusión mediática de su iniciativa: “me alegro de haber conseguido llamar la atención en 
positivo sobre el problema de este tipo de comentarios”.

Todos estos ejemplos muestran la importancia de que los referentes sociales no sean saturados por el color blanco. Lo contrario es una barbarie, es recordar épocas peores, donde ser negro era sinónimo de ser esclavo, de ser sirvienta, de analfabetismo, de miseria.


Lo contrario es incitar a que las jóvenes negras utilicen cremas blanqueadoras terriblemente nocivas que les dejaran la piel marcada de por vida, es animarlas a plancharse el pelo porque el suyo es “pelo malo”, rebelde, rizado, feo. Hay que cambiar los referentes, en el cine, en la música, en la publicidad, en la política, en las pasarelas de moda.



Un ejemplo es Beyonce, quien trata de ocultar sus rasgos con cremas blanqueadoras.






Este artículo acaba igual que empezó, con una frase de Chojín que resume el espíritu de la reivindicación que hoy presentamos. Una reivindicación en contra de un mundo en monocromo, una voluntad de llamar las cosas por su nombre. 

“No hay mentira más grande que afirmar que todos somos iguales. Y aclarar esto es muy importante: valer lo mismo no es lo mismo que ser lo mismo.”

Nègre n’est pas un gros mot!

“Nègre” / utilise le mot sans aucune peur / Nègre/ Nègre est couleur l'attitude d'être.

“Nègre” / une identité non une croix est “nègre” le visualise regarde-moi et dit “nègre”.

C'est la rengaine de la célèbre chanson du rappeur madrilène Chojin, avec un objectif que depuis Les gros mots nous partageons : acquérir l'utilisation du mot nègre, comme une défense de l'identité et non comme une insulte.




C'est très commun l'usage d'euphémismes pour éviter le mot “nègre”. Pourquoi arrive cela? C'est simple : parce que dans l'imaginaire social s'est terminé attachant le mot “nègre” à l'image de maladies du sabot, aux enfants africains sous-alimentés, aux personnes fuyant de policiers locals. Il paraît que ce sont les véritables nègres, les personnes qui sont toujours étrangers, les qui ont que lutter pour survivre. Les personnes qui ont du succès, les qui sont actrices fameuses, ou chanteuses, ou joueurs du futbol, ils ne sont pas nègres. Pour ils il y a qu'utiliser un autre mot : noirauds, de couleur, afro-américains.

Chojin n'est pas le premier espagnol qui utilise sa musique pour dénoncer le racisme contre les nègres dans d'un pays “progressiste” comme on suppose qu'est l'Espagne.

Frank T, dans sa chanson Humour noir, fait une compilation amère de toutes les blagues populaires de nègres que tant on écoute en Espagne: "Dites-moi que dans la neige un noir est une cible parfaite, que de tous les nègres le mieux c'est le nègre mort, que les noirs, généralement, ne se trompent pas parce que l'erreur est humaine et avant ils doivent pouvoir s'humaniser."


Ce genre de blagues peut sembler anecdotique, mais l'humour est un reflet convexe de l'imaginaire social. Quelle est la marque de ce qui est permis de rire, ce qui mérite la moquerie.


Dans les blagues jamais s'utilisent euphémismes, s'utilise le mot cru, remarquant cette différence que nous convertissons en stigmate. Et cela va plus loin du blague, nous pensions en toutes les expressions qui portent le mot “nègre” dans notre langue. Si tu es fâché tu rends nègre. Si tu as quelque chose de difficile, tu l'as nègre. Si tu travailles d'une manière illégal, tu touches en nègre. Si ton humeur est de mal goût, tordu, c'est humeur nègre. Si tu n'as pas de chance, tu as la noire. Si quelqu'un te fait le travail salissant, tu as un nègre. Nègre jamais a une connotation positive, nègre se transforme en une insulte.

Également dans la publicité il a été utilisé la ressource de la confrontation entre le nègre et le blancDans les images, nous pouvons voir un avant et après où la figure du noir est immobile, toujours devrait être modifié, évité, dénié.


Surtout dans les annonces de savon, dont le célèbre "Fairy", le nègre a été utilisé comme quelque chose qui avait lavé pour devenir blanc.




Voici l'association: noir-sale. Dans les marques françaises comme Dirtoff nous voyons comme un nègre est heureux de voir que le savon nette lui tant que éclaircit la peau. Le même mécanisme: réjouissez-vous, ce savon est si bon que devenir la saleté en propreté, le blanc en noir.
Qui ne voudrait pas être blanc? Est-ce que nous devrions aspire a cela?

Une autre référence pour la conscience collective qui est touché par le blanc est le cinéma. Cela est en même temps une modèle et une copie de cela qui “doit être”. En Hollywood, ils le savent et cela était une question du temps que là-bàs apparût une initiative comme “Oscars so White” revendiquant le manque de possibilités pour les acteurs et actrices noirs dans ce prix et dans l'industrie du cinéma en général. Acteurs de la taille de Will Smith ne sont pas allés au gale de cette année comme une façon de boycott pour visualiser sa protestation. Chris Rock revendiquait depuis la propre scène: “ Cette année, les choses vont à être différentes. Dans le segment In Memoriam seul apparaîtra le gens nègre qui ont été tiré par les policiers” ou “Nous voulons une occasion”. Nous voulons que les acteurs nègres aient les mêmes occasions que les blancs”.

Il n'a pas été l'unique campagne de ces mois, en France une jeune parisienne ouvrait la polémique avec le hastag #SiLesNoirsParlaientCommeLesBlancs où avec un coup d'humeur, il inverse situations quotidiens qui gênent à la communauté noire française.

“Ce sont tes vrai cheveux? Je les peux toucher? Ils sont super lisses, on dirait des poils de chiens

“Ah, j'adore l'Europe!, ma grand-mère avait une copine blanche en crèche, tu sais?”.

L'actrice est très satisfaite avec toute la répercussion médiatique de son initiative : “ je me réjouis d'avoir obtenu attirer l'attention en positif sur le problème de ce type de commentaires”.


Tous ces exemples nous montrent l'importance de ce que les référents sociaux ne soient pas saturés par la couleur blanche. Le contraire est une barbarie, est se rappeler des époques pires, où être nègre était synonyme d'être esclave, d'être domestique, d'an
alphabétisme, de misère. 


Le contraire est inciter à que les jeunes nègres utilisent crèmes blanchisseuses terriblement nocives que leur laisseront la peau marqué à vie, est les encourager à se repasser les cheveux parce que la leur est “cheveux mauvais”, rebelle, frisé, laid. Il faut changer les référents, dans le cinéma, dans la musique, dans la publicité, dans la politique, dans les podiums de mode. 



Un exemple est Beyonce , qui tente de se cacher ses caractéristiques avec des crèmes blanchisseuses.





Cet article termine de la même façon qu'il commença, avec une phrase de Chojin qui résume l'esprit de la revendication qu'aujourd'hui nous présentons. Une revendication en contre d'un monde en monochrome, une volonté d'appeler les choses par son nom.

“ Il n'y a pas un mensonge plus grand qu'affirmer que tous sommes égales. Et éclaircir cela est très important : valoir le même n'est pas le même qu'être le même”.

lundi 29 février 2016

Putain n'est pas un gros mot! Traduction à l'espagnol.


¿A qué mujer no la han llamado alguna vez en su vida puta? 

Un desconocido por la calle, disfrazado de broma en la boca de una amiga, el comentario de una expareja, a las espaldas, en plena cara, en la cama, en un bar. Puta. Putas. Todas putas.



Si, a todas nos han llamado puta, ¿qué es lo que nos hace merecer este nombre? ¿Qué es ser una puta?






Una puta es, según el diccionario, aquella persona que mantiene relaciones sexuales con otra a cambio de dinero. Y fin. Es curioso que este concepto parezca tan inmoral o escandaloso a mucha gente teniendo en cuenta lo borrosa que es en muchas ocasiones la frontera entre la seducción tradicional y la prostitución. Muchísimas dan por sentado que antes de acostarse con un hombre este debe haber aportado algo material: una cena, unas entradas de cine, un par de copas, unos pendientes. 


El caso es que siempre es él el que paga, o al menos siempre lo ha sido. El planteamiento es muy básico y arcaico: la sexualidad masculina se concibe como algo inaplazable, material, instintivo. Ellos siempre quieren. La sexualidad femenina es algo frágil, pasivo, siempre dependiente de lazos afectivos. Ellas deben ser más deseadas que deseantes. Ellas no siempre quieren. Y partiendo de estas generalidades, ellos tienen que convencerlas. Con palabras, con promesas, pero sobre todo con materialidad. 



¿Tanta diferencia hay entre prácticamente exigir regalos o manutención y tener una tarifa? Deberíamos planteárnoslo.








Otra cuestión interesante es la imagen de eterna víctima que se da de las putas las pocas veces que aparecen en los medios de comunicación. Solo muestran una realidad, la de aquellas que ejercen en contra de su voluntad. Una realidad, cruda, dura, que no debería existir. Pero no representativa. Porque además de todas aquellas mujeres que se ven forzadas a ejercer hay otras miles que están conformes con su trabajo. Entonces, ¿por qué mostrarlas siempre desvalidas, desconformes, forzadas?


Hay que tener en cuenta que la dinámica que hemos explicado antes (tú me aportas una materialidad en forma de dinero, de manutención…y yo te aporto mi cuerpo) ha sido la base durante muchos años numerosos matrimonios. Ellos las mantenían. Ellas asumían las tareas de la casa, el cuidado de los niños y acostarse con ellos. Pero si convertimos la prostitución en algo asimilado y aceptado, si dejamos de enviar a las putas a trabajar a polígonos u otros lugares inhóspitos, si les permitimos que su trabajo esté regulado como cualquier otro, si encontrar una puta es tan fácil y normal como ir al dentista… Entonces, dejamos coja la base del matrimonio como se ha concebido durante buena parte del siglo pasado. Todos estos puntos se tratan de una manera mucho más exhaustiva en el libro “King Kong theory”, de Virgine Despentes. Muy recomendable.


Dejando de lado la cuestión del porqué no se regulariza y normaliza la situación de aquellas mujeres que quieren ser putas, hablemos ahora de las mujeres que nunca lo han sido pero reciben ese nombre. Si lo simplificamos muchísimo, una puta es aquella mujer que quiere sexo (a cambio de dinero, pero lo quiere). Por tanto, se ha pasado a utilizar la palabra para referirse a cualquier mujer que tiene “actitudes o comportamientos de buscar sexo”. ¿Y cuáles son estas actitudes o comportamientos? Prácticamente todos. Llevar una falda muy corta, los tacones muy altos, los labios muy rojos. Acostarte con muchos hombres, no pedirles ni dejar que te pidan explicaciones. Ir muy depilada. Tener iniciativa, en general, pero con los hombres en particular. Estar orgullosa de tu cuerpo y lucirlo, sin complejos. No guardarle luto a tu novio después de salir de una relación de tres años y liarte con el primero que pasa. Y un largo etcétera. Lo peor es que en muchos casos la palabra puta la pronuncian las propias mujeres- Que duro es escuchar como voluntariamente caen en la trampa que otros han creado para ellas. Esa es puta. Joder, tía, eres un poco puta, ¿eh? Menuda putona, aquella. 





Al final, ser mujer te hace potencialmente puta. Y cuando esto cala en la conciencia colectiva, es lógico que se les ofrezca dinero. Porque ella, sea quien sea, es puta. Tal vez no lo sepa, pero lo es. Esto le ocurrió, por poner un ejemplo, a C, una universitaria a la que hemos entrevistado y nos ha contado su experiencia.


«Fue en una temporada en la que me apetecía conocer gente, simplemente. Quedar con alguien, follar y ya está. Me descargué unas cuantas aplicaciones de contactos, como Tinder y tal. Contacté con muchos chicos y les di mi móvil a algunos. Continué hablando con unos cuantos, quedamos y nos acostamos. A otros a los que también había dado mi número acabé por ignorarlos sin llegar a quedar, no había feeling, no sé. 



Estuve así un tiempo, hasta que dejó de apetecerme acostarme con desconocidos y me borré todos los perfiles. Hasta aquí todo bien. Pero un día me habló por whatsap un tío desde un número de teléfono que no conocía. No sé quién eres, me he encontrado tu número en mi móvil. Lo tengo desde hace tiempo, y justo hoy me he topado con él en mis contactos y me he decidido a hablarte. Lo único que sé de ti es que te va el BDSM y que eres una sumisa. ¿Es verdad? Podría ofrecerte mucho dinero, y de forma continuada. Me quedé flipada, no tenía ni idea de quién podía ser ese tipo que me ofrecía dinero con tantísima normalidad. 



Supuse que alguno de los chicos a los que había dado mi número y había acabado rechazando le debía haber pasado mi móvil, una especie de venganza absurda, yo que sé. Le dije que no era prostituta, que nunca lo había sido y que no tenía intención de serlo. Lo sé. Pero no importa. De verdad, estoy muy interesado. Y puedo pagarte bien. Piénsalo al menos. El tío siguió insistiendo un tiempo, aunque le dije repetidamente que no, hasta que lo bloqueé. No sé de dónde se sacó que habría accedido a acostarme con él por dinero, no sé qué fue exactamente lo que le hizo llegar a esa conclusión. Tal vez dio por sentado que al haber estado en esas redes de contactos, dispuesta a acostarme con desconocidos, me hacia una buena candidata para hacer lo mismo a cambio de dinero, que tal vez incluso lo preferiría. No le entraba en la cabeza que yo, como cualquier mujer que se lo plantee, puedo buscar tan solo sexo, sexo con alguien que me atraiga, sin más complicaciones. Parece que las mujeres solo podemos acostarnos por los hombres por dos razones: por amor o por dinero. Como obviamente no me acostaba con los tíos de esa red social por la primera razón, debió de dar por sentada que lo haría por la segunda. »










Bibliografía

Virgine Despentes. (2006). King Kong theory. París: Editorial Melusina. 





Putain n'est pas un gros mot!


À quelle femme ne l'avait pas appelé quelques fois dans sa vie, putain? 


Un inconnu par la rue, déguisé pour rire à la bouche d'une amie, le commentaire d'un couple, à les arrières, en plein visage, au lit, dans un bar. Toutes putains.


Si, a toutes nous avons appelé putain, qu'est-ce que nous fait mériter cet nom? Qu'est-ce que c'est être une putain?






Une putain c'est, selon le dictionnaire, cella personne qui maintient relations sexuelles avec une autre en échange d'argent. Et fin. C'est curieux que ce concepte paraisse tellement immorel ou scandaleux à beaucoup de gens tenant en compte que parfois, la limite entre la séduction traditionnel et la prostitution est très floue. Beaucoup de femmes considèrent tel acquis que avant de se coucher avec un homme, ce lui doit avoir apporté quelque chose de mátierielle : un dîner, unes entrées au cinéma, un pareil de verres, unes boucles d'oreille. 

Le fait c'est qu'il est qui paye toujours, ou au moins, toujours l'a été. L'exposé est très essentiel et archaïque: la sexualité masculine se conçoit comme quelque chose de máterielle, instinctive. Ils veulent toujours. La sexualité féminine est quelque chose fragile, passive, toujours dépendante de noeuds affectifs. Elles doivent être plus désirées que désirantes.Elles ne veulent pas toujours. Et partant de ces généralités, ils doivent leur convaincre. Avec mots, avec promesses, mais surtout avec matérialité.

Il y a tellement différence entre exiger cadeaux ou entretien et avoir un tarif? Nous le devrions poser.




Une autre question intéressant est l'image de victime que se donne de las putains les fois qu'elles apparaissent en les médias de communication. Ils seul montrent une réalité, la de ces personnes qui exercent en contre de leur volonté. Une réalité, crue, dure, qui ne devrait pas exister. Mais non représentative. Parce que, en plus de toutes ces femmes qui se voient forcées à exercer, il y a autres milles qui sont d'accord avec leur travail. Alors, pourquoi nous les montrons toujours déshéritées, forcées? 

On doit avoir en compte que la dynamique que nous avons expliquée avant, tu m'apportes une matérialité en forme d'argent, de manutention et je t'apporte mon corps) a été la base pendant beaucoup d'années de nombreux mariages. Ils leur maintenaient. Elles assumaient les tâches ménagères, de l'attention des enfants et de se coucher avec eux. Mais si nous convertons la prostitution en quelque chose assimilée et acceptée, si nous laissons d'envoyer aux putains à travailler en zones industrielles ou à autres lieux inhospitalier, si nous leur permettons que leur travail sera réglé comme d'autres, si trouver une putain est tellement facile et normale comme aller au dentiste... Alors nous laissons boiteuse la base du mariage comme s'est conçu pendant une bonne partie du dernier siècle. Tous ces points se fréquenter d'une façon plus exhaustive dans le livre “King Kong theory”, de Virgine Despentes. Très recommandable. 

En laissant de côté les questions de pourquoi ne se mettre pas en règle la situation de ces femmes qui veulent être putains et maintenant, nous parlions des femmes qui jamais ont été putains mais elles reçoivent ce nom. Si nous le simplifions,une putains est qui veul sexe (en échange d'argent). Par conséquent, nous avons passé à utiliser le mot pour nous referons à toutes les femmes qui ont “attitudes ou comportements de chercher sexe”. Et quelles sont ces attitudes ou comportements? Patriquement tous. Porter une jupe très courte, les talons très hauts, les lèvres très rouges. Se coucher avec beaucoup d'hommes, ne leur demander ni laisser qu'ils te donnent explications. Aller très épilée. Avoir initiative, en général, mais avec les hommes en particulier. Être fière de ton corps et le luire, sans complexes. Ne le garder pas le deuil à ton copain aprés de sortir d'une relation de trois années et te lier avec le premier qui passe. Et un longue etcétera. Le pire est qu'en beaucoup de cas, le mot “putain” la prononcent les propres femmes. C'est dur écouter comme volontairement elles tombent dans le piège qu'autres ont cru pour elles. Cela-là est putain. Merde, nana, tu es un peu putain, eh? Drôle putain, celui-là.



À la fin, être femme te fait potentiellement putain. Et quand cela perce dans la conscience collective, c'est logique qu'ils leur offrent argent. Étant donné qu'elle, soit qui soit, est putain. Peut-être qu'elle ne le sait pas mais, elles. Cela l'arriva, en poser un exemple, à C, une femme universitaire à laquelle nous avons interviewée et elle nous a raconté son expérience.


«Il fut une saison dans laquelle j'avais envie de connaître gens, simplement. Convenir avec quelqu'un, baiser et c'est tout. Je me déchargeai plusieurs applications de contacts, comme Tinder. Je contactai avec beaucoup d'hommes et je leur donnai mon mobile à quelque. Je continuai parlant avec quelques, nous nous sommes convenu et nous nous couchons. À autres auxquels je leur avait donnait mon numéro de téléphone, je finis par leur ignorer sans arriver à nous convenir, nous n'avions pas feeling, je ne sais pas.

Ainsi, je fus un temps jusqu'à que laissa de me désirer me coucher avec inconnus et je m'effaçai tous les profils. Jusqu'à ici tout bien. Mais un jour un homme me parla par Whatssap depuis un numéro de téléphone que je ne connaissait pas. Je ne sais pas qui tu es, je me suis rencontré ton numéro en mon téléphone. Je l'ai depuis longtemps et juste aujourd'hui, je me suis trouvé avec lui en mes contactes et je me suis décidé à te parler. L'unique chose que je sais de toi est que te va el BDSM et que tu es une soumise. C'est vrai?


Je pourrait t'offrir beaucoup d'argent et de forme continuelle. Je suis resté étonnée, je n'avais aucune idée de qui pouvait être ce type qui m'offrait argent très normalement.

Je supposai que quelques-unes des hommes auxquels j'avais donné mon numéro et je l'avais repoussé, il devait avoir passé mon mobile, une espèce de vengeance absurde. Je lui dis que je n'étais pas prostituée, que jamais je l'avais été et que je n'ai pas intention d'être. Je le sais. Mais cela n'importe pas. Sérieusement, je suis très intéressé. Et je peux te payer bien. Pense ça. L'homme suivit insistant un temps bien que je lui dit à plusieurs reprises que non, jusqu'à je lui gelai. Je ne sais pas d'où il eut que j'aurais accepter à me coucher avec lui par argent, je ne sais quoi fut exactement quoi lui fut arriver à cette conclusion. Peut-être il considéra comme acquis qu'au avoir été dans ces réseaux sociaux de contacts, je disposée à me coucher avec inconnus, il me fait une bonne candidate pour faire la même chose en échange d'argent, que peut-être inclus je le préférerait. Ne lui entrait pas dans la tête que moi, comme n'importe quelle femme, je peux chercher uniquement sexe, sexe avec quelqu'un qui m'attire, sans plus complications. Paraît que seulement les femmes nous pouvons coucher avec les hommes par deux raisons : par amour ou par argent. Comme je ne me couchais pas avec les hommes de cette réseau social par la première raison, il dut penser que je le ferais par la seconde. »








Bibliographie

Virgine Despentes. (2006). King Kong theory. París: Éditorial Melusina. 





lundi 22 février 2016

Gros(se) n'est pas un gros mot! Traduction à l'espagnol.





En el 2011, con el motivo de un documental acerca de relaciones a través de internet ("When Strangers Click: Five Stories From the Internet), se realizó una encuesta sobre cuáles eran los principales miedos a la hora de tener una cita ciegas con alguien a quien hubieses conocido en una red de ligoteo, como Tinder. Las respuestas variaron mucho de un género a otro. Las preocupaciones de ellas eran que su cita resultase ser “un tipo raro” o incluso “un asesino en serie o algo parecido”. En cambio, ellos solo tenían miedo de una cosa: que fuese una gorda.
¿Cuál fue el momento en el que se nos prohibió ser gordas? ¿Cuándo se convirtió en una de las peores palabras que se le puede decir a una mujer?. 

El problema radica en que cuando te llaman “gorda” no solo te están llamando “gorda (de carnes abundantes)”, también te están lanzando a la cara todas las connotaciones que se le han ido adhiriendo con el paso de los años. Porque si eres gorda, además de gorda, eres vaga, no te cuidas, no eres sana, tienes la autoestima baja, no puedes atraer a ningún hombre o mujer por tu físico y debes estar agradecida si alguien alguna vez te hace el favor de acostarse contigo. Cuando eres gorda parece que pierdas el derecho al amor y, por supuesto, eso de que alguien se pueda sentir atraído por tus carnes no es para ti, de hecho, lo raro es que alguien lo haga, que alguien te sienta. Lo raro es que alguien te quiera, porque, cuando eres gorda, no eres eso que deberías ser como persona, no eres eso que alguien merece a su lado, no eres ese estereotipo que todos desean consigo. Y por todo esto, el derecho a meterse contigo puede seguir latente: te has salido de lo adecuado.




Nos referimos, aunque muchos no lo crean, a un tema social denigrante y de trato urgente, el cual encontramos en el porqué de unos tallajes cada vez más reducidos, en unas modelos cuyo trabajo radica en la obligación de una delgadez extrema, sin darse cuenta de que son esa imagen que todos querrán alcanzar. Modelos sociales inalcanzables, casi imposibles, casi irreales, que trastornan e influyen a personas “corrientes” que viven horrorizadas si suben de la talla 36. Son estas cosas las que hacen que la aceptación social de personas gordas, y no tan gordas, sea casi nula. Hay quien gana dinero con tus complejos: gimnasios, dietistas, cirugías, complementos dietéticos, cremas reductoras y productos milagrosos varios, todo esto entre una multitud de cosas que, más que ayudar, hacen que sientas y pienses que tu persona no es la correcta. Donde hay un complejo, hay un negocio - y si no lo hay, se crea-.
Para solucionar todo esto, un buen avance es convertir una gran parte de los referentes femeninos (revistas, series, películas, videoclips…) en chicas que jamás gasten una talla superior a una 36.  Deberíamos estar hartos y no deseosos de ser eso que no somos por una simple influencia social.

Desde la infancia nos bombardean con miles de mensajes de lo que debemos ser, y uno de los que más se repiten es: “sé delgada, frágil, grácil”. Pues nosotras te decimos: sé cómo eres, como quieras ser y todo lo fuerte que alcances, por ti y no por la influencia de nadie.”

Sin embargo, poco a poco van apareciendo voces disonantes, chicas y chicos que animan a otras chicas y a otros chicos a deshacerse de esos complejos que nunca deberían haber existido, porque no existen, no son reales, no son verídicos: son simple y desgraciadamente condiciones erróneamente inculcadas. Les ayudan a ser conscientes de que si ellas mismas no aceptan su cuerpo no podrán conseguir que el resto también lo haga.


Todo esto nos recuerda a Loversize, uno de los principales blogs españoles desde donde se están lanzando mensajes positivos y realmente reconfortantes para toda esas personas que deben estar a gusto y felices con su propio cuerpo, con ellas mismas. Y, por último, nos gustaría dejaros una cita de una de las frases que encontramos dentro de esta página y que refleja una gran verdad que debería ser ley: “Bienvenidos a nuestro mundo donde la talla es lo de menos y la autoestima, lo demás”. 







Aquí os dejamos la entrevista que tuvimos con la fundadora del grupo feminista "Las lilas", colectivo que combate por la igualdad y ha hecho diversos movimientos a favor de esta causa.


Gros(se) n'est pas un gros mot!

Définition. Gros, grosse: Personne de forte corpulence. Qui est plus large et plus gras que la moyenne; corpulent.



En 2011, avec le motif d'un documentaire au sujet de relations à travers Internet “When Strangers Click: Five Stories From the Internet”, se réalisa une enquête sur quels étaient les principaux peurs à l'heure d'avoir rendez-vous à l'aveuglette avec quelqu'un à qui tu eusses connu en un réseau de rentre-dedans, comme Tinder. Les réponses varièrent beaucoup d'un genre à autre. Les soucis de leur étaient que leur rendez-vous résultât être “un type bizarre” ou inclus “un tueur en série ou quelque chose de semblable”. Cependant, ils avaient uniquement peur d'une chose: que la femme fût une grosse.

Quel fut le moment dans lequel se nous interdîmes d'être grosses? Quand se changea en une des pires mots qu'on peut le dire à une femme?

Le problème siégé quand quelqu'un t'appelle “grosse” donc non seulement il te dit que tu es grosse (de viandes abondants), il te lance en face toutes les connotations que se lui sont allés adhérant avec le pas d'ans. Puisque si tu es grosse, en plus de grosse, tu es fainéante, tu ne te ménages pas, tu n'es pas saine, tu as l'estime baisse, tu ne peux pas attirer à aucun homme ou femme par ton physique. Tu dois être reconnaissante si quelqu'un quelque fois te fait le plaisir de se coucher avec toi. Quand tu es grosse, il paraît que tu perdes le droit à l'amour et, naturellement, cela que quelqu'un puisse sentir attiré par tes viandes ça n'est pour toi, de fait, le rare est que quelqu'un le fasse, que quelqu'un te sente. Le rare est que quelqu'un t'aime, parce que, quand tu es grosse, tu n'es pas cela que tu devrais être comme personne, tu n'es pas cela que quelqu'un mérite à son côté, tu n'es pas ce stéréotype que tous désirent avec soi. Et par tout ça, la droit à taquiner avec toi peut continuer latent: tu t'es quitté de l'adéquat.


Nous nous rapportons, bien que beaucoup ne le créent pas, à un thème social dénigrant et de traitement urgent, dans lequel nous trouvons la cause d'unes tailles chaque fois plus petites, d'unes modèles dont le travail réside dans l'obligation d'être extrêmement mine, sans se rendre compte de qu'elles sont cette image que tous aimeront obtenir. Modèles sociaux inaccessibles, presque impossibles, presque irréels, elles bouleversent et influent à personne « courants » qui vivent épouvantés s'ils montent de la taille 36. Ces choses sont lesquelles font que l'acceptation sociale de personnes grosses et non tellement grosses, soit presque nulle.
Il y a qui gagne argent avec tes complexes: gymnases, nutritionnistes, chirurgies, compléments diététiques, crèmes 
réductrices et produits miraculeux, tout cela entre une multitude de choses que, plus qu'aider, font que tu sentes et penses que ta personne n'est pas la correcte. Où il y a un complexe, il y a une affaire –et s'il n'y a pas, il se crée–.

Pour solutionner tout cela, un bon progrès est convertir une grande partie du référents féminins (magazines, séries, films, vidéoclips, etc) en femmes qui jamais utilisent une taille supérieure au 36.
Nous devrions être fatigués et non désireux d'être cela que nous ne sommes pas par une simple influence sociale.

Depuis l'enfance, ils nous bombardent avec mille messages de ça que nous devons être et le plus répétée est : “Sois mince, fragile et gracile”.
Ainsi nous te disons : “Sois comme tu es, comme tu veux être et toute la force que tu obtiens, par toi et non par l'influence de personne.”


Toutefois, peu à peu, vont apparaissant voix dissonants, garçons et filles qui animent à autres à se débarrasser du complexe que jamais devraient avoir existé, parce qu'ils n'existent pas, ils ne sont pas réels, ils ne sont pas véridiques: ils sont simples et malheureusement conditions faussement inculqués. Les aident à être conscients de ce que si elles n'acceptent pas leur corps, elles ne pourront pas que le reste le fasse.




Tout ça nous rappelons à Loversize, un du principaux blogs espagnols depuis où se lancent messages positifs et réellement réconfortants pour toutes les personnes qui doivent être à l'aise et heureuses de leur propre corps, avec elles-mêmes. Et enfin, nous plairions laisser une citation des phrases que nous trouvons dans cette page et que reflété une grande vérité qui devrait être loi : “ Bienvenus à notre monde où la taille est le moins et l'estime est le plus. 






Nous avons interviewé le fondateur d'un des groupes féministes de Valence "Las lilas", un groupe qui combat pour l'égalité et a fait des mouvements pour les grosses personnes:


- Comment va surgir la collective « Les Lilas »?


La collective « Les Lilas » va surgir parce que le dernière course unes amies et moi avions créé une collective déjà mais, en cet cas, il n'était pas mixte, il était seulement pour les femmes et pour les personnes trans et féministes. Toutefois, il n'aboutit pas, nous ne fîmes beaucoup, seulement aller à quelque manifestation mais, pendant ce cours nous nous donnâmes compte de qu'il faut nécessaire une collective mixte à Valencia parce que déjà était un mixte que c'est « Révolte violette ». En plus, nous nous donnâmes compte de qu'il faut nécessaire l'existence d'une collective qui englobera plus courants du féminisme parce que l'existant, « Révolte Violette » est transféministe. Nous croyons que c'est magnifique qu'il est mais c'est nécessaire quelque chose nouveau et différente. À partir de ça, comme nous avions plus pouvoir sur les réseaux sociaux, nous commençons à promouvoir cet projet et nous vîmes qu'il tint une bonne accueille. En conséquence, autour du novembre surgit la collective. 



- Nous allons à parler du projet plus important « Plus que ton taille ». Il fut votre idée?



Réellement nous nous inspirâmes dans un projet qu'avait fait l'assemblée féministe de la ville de Zaragoza «Feminism Unizard». Il est créé dans l'époque du soldes et nous les demandons permis pour faire la même chose en Valencia. Simultanément, «las nenazas», une collective transféministe de la Rioja, était planifiant faire la même chose dans leur ville et quand nous nous rendîmes compter, nous décidâmes le faire en même temps pour le diffuser par les réseaux sociaux.


- Quel était l'objectif du projet ?



Nous avons deux objectifs principaux.


Le premier est à élever l'état d'esprit à toutes les femmes qui ne trouvent pas ses tailles, aux que cette année, elles se rendent compte que cette année les tailles sont plus petites que l'an dernier. Sour tout promouvoir l'amour propre principalement des personnes avec surcharge que nous croyons qu'ils sont les plus affectées par le canon de beauté.



Le second objectif était interpeller aux marques directement et pour ça nous avons l'autocollant «Vôtres tailles sont violence» donc il y a un problème et ils sont les causants et qui l'ont promu.



- ¿Vous-croyez que les objectifs ont été atteints? 

Nous sommes sûres du premier objectif parce que certaines femmes nous l'ont dit, aussi il y a femmes qui se sont unies au collectif à partir de la campagne et se sont créés collectives dans certaines villes de groupes de jeunes qui se sont unis pour coller les autocollants quand nous envoyons les dessins. La plus importante pour moi c'est avoir obtenu un sourire de ces personnes.


De plus, les marques se sont rendus compte parce qu'à la seconde frappe que nous fîmes, les vendeuses étaient super vigilantes, elles te surveillaient, elles t'ouvraient la cabine en colère. Nous n'aurons pas obtenu beaucoup mais nous avons ennuyé et nous avons levé les courages et ça a été beaucoup plus que je n'espérais. 

- Quels sont les slogans que vous aviez dans vôtres autocollants?

Un était « Moins belles bauquières et plus moches éveillées ». C'est une phrase à moi qui signifie beaucoup pour moi parce qu'il veut dire que plus qu'apprendre à nous trouvons belles, le plus importante est à apprendre qu'être belles n'est pas le plus important donc sont plus importantes las envies de vivre, l'amour, las passions que la beauté.

Un autre slogan était « Vôtres tailles sont violence » qu'à mon avis c'est très important parce qu'il interpelle directement aux magasins.


- Vous avez pensé faire un autre projet similaire ?
Oui, nous avons pensé le répéter en les soldes d'été. Nous le ferons avec le même « hastag » et ça se fera dans autres villes et nous espérons qu'il retourne à tenir la même diffusion.

-Le prix des autocollants est auto subventionné ?
Oui parce que nous avons fait une collecte dans la collective et aussi dans chaque ville les gens se sont organisées pour mettre l'argent.

Cependant, avec notre dernier événement « le Saint Valentin lilas », nous avons gagné argent en vendant plaques. En conséquence, nous avons plus fonds.

Un autre était « Ton corps est un foyer, il n'est pas un prison ». Celui-ci fait appel à changer notre relation avec notre corps plus qu'au voir bel ou qu'au voir comme ta maison donc ton corps te maintient vive. 

- Quelle est le ton opinion sur tous les mouvements qui sont en survenant de body positive, curvy, etc ?

À mon avis, il y a gens auquel paraîtra un petit pas pour le féminisme, une victoire plus petite mais pour moi c'est indispensable. Il y a une phrase de Katy Millet, une féministe très importante de la seconde vague, « Le personnel est politique ». Cette phrase se doit à qu'après de la première vague qu'elle entre plus en victoires institutionnelles, légales et officielles comme le vote, l'accès à l'éducation des femmes. En la seconde vague, ils commencèrent à s'inquiéter par ce qui passait dans le foyer du femmes, par les relation entre les hommes et les femmes, par las tâches matrimoniales, par le sexe, par l'amour propre. Pour moi cette phrase veut dire que les victoires personnelles de les femmes qui commencent à aimer à elles mêmes, aussi elles sont victoires politiques, elles sont grandes victoires et il y a révolutions individuelles que quand ils arrivent et quand tas de femmes décident de commencer d'aimer ses corps et à refuser ce qui est imposé par le canon de beauté, ça pour moi est révolutionnaire et antisystème.

Il y a une autre phrase qui dit : «¿Combien d'entreprises fermeraient si demain les femmes quittassent de se haïr à elles mêmes ?»

Pour moi ce sont les phrases plus représentatives.


- Il y a une phrase qui dit : « De chaque complexe que tu as, il y a quelqu'un qui s'est obtient bénéfices ». Crois-tu qu'il y a d'entreprises qui sont en forçant à que les femmes soient incertaines ?



Je crois que les entreprises de laxatifs, les magasins qui promeuvent les régimes insanes et express et les mêmes talons sont une façon de modifier le corps. Cela ne veut dire pas que tu, individuellement, ne te les puisses pas mettre sinon qu'il y a gens qui s'est obtient bénéfices donc tu aimes modifier ton corps. Cela me paraît un fait et nous devons être conscient de cela même si tu ne changes pas tes décisions individuelles, même si tu continues portant talons. 



Par exemple je me maquille mais je suis consciente de qu'ils m'ont imposé le maquillage. Je crois que c'est un change par rapport à la femme avec son propre corps. C'est important savoir à qui tu lui es payant et pourquoi.



- L'entreprise qu'a été accuse de certains magouilles est Inditex. Choisîte-vous magasines spécifiques pour coller les autocollants? 

Nous choisîmes magasines d'Inditex parce que c'est le magasin où les jeunes plus achètent. Je dois dire que la seule plainte que nous avons d'Inditex sont les tailles donc rapetissent et aussi que manquent grandes tailles. Inditex a esclaves fabriquent leur vêtements et la majorité sont femmes et enfants donc ils sont les collectives plus vulnérables.

Nous n'avons fait une campagne contre ceci parce que nous n'avons pas moyens pour l'arrêter. Mais nous voulons souligner que nous savons parfaitement ce qu'ils font. Nous sommes totalement en contre et nous encourageons aux acheteuses à faire leur propre vêtements, à chercher en magasins à seconde main si elles peuvent au lieu d'acheter en Inditex. Alors, pour cela nous nous dirigeons à Inditex parce que par exemple, « Bershka » a tailles très petites. Un autre magasin que n'est pas d'Inditex mais, qui était autre de nos principaux blancs, était « Brandy Melville » parce que c'est un magasin qui être très à la mode et qui a une politique de taille unique qui se paraît a la « s » d'autres magasins. J'ai beaucoup d'amies qui la portent, ma sœur la porte aussi mais j'ai des amies qui ont éclatent en sanglots parce que cette taille ne s'adapte pas à elles alors je crois qu'il était nécessaire le revendiquer.


- Tu veux dire quelque chose à quelque femme avec surcharge ou qu'elle n'est pas à l'aise avec son poids?



Pour moi, une fois qu'elle commence à s'aimer ou a l'intenter, sa vie va changer beaucoup mais, non parce qu'elle commence à se voir belle sinon parce que quand il se rende compte que le plus important n'est pas être belle, elle va tenir plus temps pour s'amuser, pour être heureuse.



Je crois que beaucoup de gens ne se rendent compte que les complexes non seulement te limitent en le sens esthétique mais, encore te limitent en ce qui concerne à que tu es tellement occupée pour ton physique que tu n'as pas temps pour rire, pour sauter, pour baiser, pour t'énamourer, pour laquelle en soit, alors je pense que c'est un procès d'intenter t'aimer à toi-même, d'aider à tes amies à s'aimer à elles mêmes et cela te libère entièrement et bien que cela soit difficile, il vaut la peine commencer.


















Alba Cavaller, Mireia Torres y Aitana Martos